Tribulations de deux françaises au Brésil

Sur la demande exprès et insistante de deux curieuses qui se reconnaitont, je suis censée vous parler de mes impressions du voyage " d'une vie" , celui de copines de plus de 37 ans , une en terre inconnue et l'autre presque une habituée .D'abord grace aux recommandations d' Anne Marie nous nous sommes retrouvées à Rio et en auberge de Jeunesse . Pour l'auberge de jeunesse , située, dans une impasse remplie que d'auberges de jeunesse , à l'exception d'une maison ou survit un couple agé, j'ai apprécié l'ambiance. Les occupants pouvaient être nos enfants , moi j'ai trouvé çà trés cool, puisque à part les rhumatismes , je me sens très jeune dans la tête. En plus on peut parler toutes les langues
Pour ce qui est de Rio, j'ai regretté au départ d'avoir écouté les conseils d'Anne Marie !
Devant la terreur des brésiliens en parlant de Rio ( Mirian tu es concernée) et la tonne de conseils que j'ai eu de ma voisine d'avion qui n'a pas arrété pendant 10 heures de me donner tous les conseils du monde pour survivre à Rio, j' ai cru que je ne descendais pas de l'avion....
sachant en plus que nous arrivions de nuit .....
Ouf! le taxi jaune nous amenées à bon port . Il faut dire que nous étions dans le prestigieux quartier d' Ipanema et que donc le risque est moindre.
Mais le soir à 7 heures pas question de ballade, sur le front de mer , pas un chat ne s'y promène ....Marie a essayé le premier soir , la pluie m'a sauvée ! ouf
J'ai oublié de dire qu'à son retour j'ai baptisé Marie ....Même pas peur
et elle m' a surnommée Caro ....Fais pas çi, fais pas çà
Je ne peux rentrer dans les détails ....mais je vais juste faire hérisser les cheveux sur la tête de Mirian:
- comment convaincre une française trés déterminée à ne pas se changerson maillot sur la plage d'Ipanema un vendredi après midi ?
heureusement pour moi, nous arrivions et j'avais donc encore assez d'autorité !
-comment faire comprendre à une française toujours aussi déterminée, que s'accrocher au bondinho de St Teresa la nuit sur le marchepied , çà peut aller , surtout quand on sympatisé avec des jeunes femmes brésiliennes, mais que faire pendre son sac à dos, avec portefeuille, caméra etc...çà craint ; et çà peut coûter une vie ?
Comme il n'est rien arrivé , Marie vous dira que Rio , même pas peur et que les brésiliens sont paranos!
Je vais la remmener en vacances, par ce que avec elle porte chance !
Elle a quand même concédé, qu'elle avait été impressionné par tous les vigiles armés devant les entrées des immeubles ...
Ce, à quoi je répond c'est juste pour faire joli puisque ; il n' y a pas de risque !
Soyons honnêtes , je lui laisserai le droit de réponse .
A part çà j' ai découvert le quartier de ST Teresa et le Jardin Botanique et çà valait la peine .
Fin du premier épisode